Viseur reflex à point rouge Docter Sight II Plus

Le viseur Docter Sight II Plus est livré dans une boîte en carton, accompagné par son capuchon de protection, deux vis de fixation, un mode d’emploi détaillé, une pile au Lithium de 3 volts, un chiffon de nettoyage, un tournevis et une platine de réglage.

Le viseur Docter Sight II Plus est livré dans une boîte en carton, accompagné par son capuchon de protection, deux vis de fixation, un mode d’emploi détaillé, une pile au Lithium de 3 volts, un chiffon de nettoyage, un tournevis et un cadran de réglage.

Le viseur reflex à point rouge modèle « Sight II Plus » de la firme allemande Docter se démarque par ses dimensions extrêmement réduites et son poids plume, puisqu’il ne pèse que 25 grammes en ordre de fonctionnement. Son utilisation est on ne peut plus simple étant donné qu’il ne comporte aucun commutateur ni potentiomètre. 

Ce viseur se révèle idéal pour être utilisé sur le pistolet Glock, dont les versions « MOS » (Modular Optic System) sont livrés avec plusieurs platines dont l’une est dédiée aux viseurs Docter Sight II et III, Eotech Mini Red Dot, Insight MRDS et Meopta MeoSight, tous ces modèles partageant les mêmes normes de montage.

Ce viseur se révèle idéal pour être utilisé sur le pistolet Glock, dont les versions « MOS » (Modular Optic System) sont livrés avec plusieurs platines dont l’une est dédiée aux viseurs Docter Sight II et III, Eotech Mini Red Dot, Insight MRDS et Meopta MeoSight, tous ces modèles partageant les mêmes normes de montage.

Le fait qu’il ne grossisse pas permet à l’image observée à travers l’écran de s’intégrer parfaitement au paysage et autorise le tireur à faire abstraction de toutes les contraintes des viseurs optiques traditionnels. La taille de l’écran n’a plus d’importance, pas plus que son éloignement. Ce viseur peut être ainsi installé sur n’importe quelle arme, de poing ou d’épaule, sans s’occuper de la distance qui le sépare de l’œil du tireur. Le point rouge se situant sur le même plan focal que la cible, l’observateur le voit exactement comme s’il s’agissait d’un point lumineux projeté par un faisceau laser. Ceci intéressera tout particulièrement les tireurs atteints de presbytie, l’utilisation de ce type d’accessoire leur permettant de s’affranchir des verres correcteurs.

Equipé d’une platine dédiée permettant sa fixation sur un rail Picatinny, le Docter peut être instantanément installé sur un pistolet Ruger 22/45 Lite où il présente l’intérêt de n’apporter qu’un supplément de poids négligeable, de l’ordre de 50 grammes.

Equipé d’une embase à griffes permettant sa fixation sur un rail Picatinny, le Docter peut être instantanément installé sur un pistolet Ruger 22/45 Lite où il présente l’intérêt de n’apporter qu’un supplément de poids négligeable, de l’ordre de 50 grammes.

Vidéo :

Le réglage des éléments de visée fixes / outil universel RST (Rear Sight Tool)

L’outil RST est livré avec 6 poussoirs interchangeables (4 en laiton, 2 en fer, 1 en acier) et une réglette en acier permettant de mieux répartir l’effort sur le pied de hausse.

L’outil RST est livré avec 6 poussoirs interchangeables (4 en laiton, 2 en fer, 1 en acier) et une réglette en acier permettant de mieux répartir l’effort sur le pied de la hausse.

Si les armes destinées à la compétition bénéficient d’une hausse réglable, les pistolets de combat sont le plus souvent munis d’une hausse fixe. Une correction de la prise de visée est néanmoins possible, du fait que cette hausse est généralement installée sur la culasse à glissière au moyen d’une queue d’aronde. Il suffit de déplacer la hausse latéralement pour modifier le préréglage de l’arme en azimut, mais cette opération est difficilement réalisable sur le terrain. C’est pour cette utilisation qu’a été créé l’outil de réglage universel RST.

Cet outil universel agit comme un étau : deux épaisses plaques en acier sont serrées par deux boulons à tête papillon, tandis qu’un troisième boulon muni d’un poussoir vient faire pression sur le pied de la hausse pour le dériver.

Cet outil universel agit comme un étau : deux épaisses plaques en acier sont serrées par deux boulons à tête papillon, tandis qu’un troisième boulon muni d’un poussoir vient faire pression sur le pied de la hausse pour le dériver.

Cette correction de la visée peut être réalisée sur le terrain de façon empirique, mais il est également possible de déterminer avec exactitude sa valeur grâce à un calcul très simple, que nous expliquons dans notre vidéo. Cette méthode est valable pour la hausse, comme pour le guidon. De plus, elle est applicable aussi bien en azimut (latéral) qu’en site (vertical), ce qui vous permet de calculer avec précision la hauteur idéale de la hausse ou du guidon. Il convient toutefois de ne pas oublier qu’une déviation du tir peut être due à un défaut du tireur (coup de doigt, par exemple) et qu’un réglage de la visée réalisé avec une munition ne sera pas forcément valable avec une autre.

La hausse de ce pistolet HK P30 a été déplacée vers la gauche d’environ 6/10 mm.

La hausse de ce pistolet HK P30 a été déplacée vers la gauche d’environ 6/10 mm.

 

Notre vidéo : présentation de l’outil et méthode de calcul

Le b.a.-ba du tir sur cible à bras franc (expliqué à partir d’un jeu vidéo)

Ce petit jeu vidéo très simple, directement et gratuitement disponible sur Internet, va nous servir de support pour vous expliquer le b.a.-ba du tir sur cible à bras franc.

Seul petit problème : ce jeu est écrit en russe…

Seul petit problème : ce jeu est écrit en russe…

http://deti.mil.by/templates/swf/Pistol/index.swf

Pour démarrer, cliquez sur « Ctарt » (début) à l’extrémité de la queue de détente du pistolet. A la fin du tir des 3 cartouches, cliquez sur « Да, держите » (oui, continuer) qui s’affiche dans un rectangle. Attention vous êtes aussi limité en temps…

Vidéo :

L’influence du recul sur le point d’impact : une donnée méconnue !

Peut être vous êtes vous déjà demandé, en tirant à courte distance avec une arme de poing, pourquoi certaines munitions à haute vitesse impactaient la cible nettement plus bas que les autres ? Peut être vous êtes vous déjà demandé, en tirant à longue distance avec une arme d’épaule, pourquoi votre lunette s’était déréglée d’une séance de tir à une autre ? Cette vidéo va vous apporter des éléments de réponse qui risquent de vous étonner…

Cette vue a été prise à l’instant même où la balle quitte la bouche du canon : la culasse est encore fermée et l’arme n’a pas, en apparence du moins, entamé son mouvement de recul et de relèvement.

Cette vue a été prise à l’instant même où la balle quitte la bouche du canon : la culasse est encore fermée et l’arme n’a pas, en apparence du moins, entamé son mouvement de recul et de relèvement.

 L’influence du recul sur le point d’impact est une donnée essentielle, souvent ignorée d’une majorité de tireurs. C’est pourtant ce phénomène qui explique pourquoi il est primordial de toujours tenir son arme de la même façon, toute modification de la prise en main ou de la posture du tireur pouvant entraîner un écart en cible.

Tirée dans un pistolet ultra compact comme ce SIG-Sauer P232 SL, la cartouche de 9 mm Browning court (.380 ACP) génère un recul sec, mais le relèvement du canon reste modéré.

Tirée dans un pistolet ultra compact comme ce SIG-Sauer P232 SL, la cartouche de 9 mm Browning court (.380 ACP) génère un recul sec, mais le relèvement du canon reste modéré.

Sur un Glock 17, le relèvement du guidon d’un millimètre, quasiment invisible à l’œil nu, entraînera un déplacement du point d’impact de 15 centimètres vers le haut de la cible à la distance de vingt-cinq mètres.

VIDEO :

L’œil directeur : mythe et réalité dans la pratique du tir sportif

Œil directeur… mon œil !

Tous les tireurs savent ce qu’est l’œil directeur. C’est en effet la première chose qu’on leur enseigne, quand ils abordent la pratique du tir sportif.

Mais en connaissent-ils réellement les implications ?

Plus nombreux qu’on ne l’imagine, les tireurs qui présentent la particularité d’être droitiers avec un œil gauche directeur rencontrent de réelles difficultés lorsqu’ils souhaitent tirer en gardant les deux yeux ouverts. Peu connue et jamais enseignée, la solution préconisée par Jean consiste à incliner l’arme, ce qui résout efficacement le problème et ne présente aucune incidence sur la précision du tir aux distances habituelles du combat rapproché.

Plus nombreux qu’on ne l’imagine, les tireurs qui présentent la particularité d’être droitiers avec un œil gauche directeur rencontrent de réelles difficultés lorsqu’ils souhaitent tirer en gardant les deux yeux ouverts.
Peu connue et jamais enseignée, la solution préconisée par Jean consiste à incliner l’arme, ce qui résout efficacement le problème et ne présente aucune incidence sur la précision du tir aux distances habituelles du combat rapproché.

VIDEO :

Et pour répondre à une question fréquemment posée :
Pourquoi ferme-t-on un œil pour viser ?
La réponse est simple :
Parce que, si on ferme les deux yeux, on n’y voit plus rien !