Pistolet à silex « Queen Anne » de Pedersoli / Calibre .50

Cette réplique de pistolet à silex Queen Anne constitue un modèle simple, bien conçu, facile à utiliser et à nettoyer.

Cette réplique de pistolet à silex Queen Anne constitue un modèle simple, bien conçu, facile à utiliser et à nettoyer.

Ce type de pistolet à silex, remarquable par certaines caractéristiques bien particulières, est couramment appelé « Queen Anne » en référence à Anne Stuart, qui régna sur l’Angleterre et l’Irlande de 1702 à 1714 et les réunit en 1907 pour former la Grande-Bretagne.

La pierre, enveloppée dans une feuille de plomb, est solidement maintenue par les mâchoires du chien. Un simple clou sert d'outil pour en effectuer le serrage.

La pierre, enveloppée dans une feuille de plomb, est solidement maintenue par les mâchoires du chien. Un simple clou sert d’outil pour en effectuer le serrage.

On remarque la très belle réalisation de la platine, de même que le soin apporté aux encastrements dans le bois.

On remarque la très belle réalisation de la platine, de même que le soin apporté aux encastrements dans le bois.

Le banc d’essai du pistolet Pedersoli "Queen Anne" a été publié sur 5 pages dans le magazine Action Guns n°209 (avril 1998).

Le banc d’essai du pistolet Pedersoli « Queen Anne » a été publié sur 5 pages
dans le magazine Action Guns n°209 (avril 1998).

La poivrière Astra « Gold Rush » / calibre .22

Poivrière Astra Gold Rush_ouverture_small

Les poivrières – qui ont pourtant été largement employées dans l’Ouest américain avant d’être tardivement détrônées par les revolvers – n’ont pas inspirées les fabricants italiens de répliques. C’est la firme espagnole Astra qui a produit, dans les années 1970, cette très belle copie dont les six canons forés en calibre .22 (5,5 mm) forment un bloc tournant autour d’un axe central. Ce modèle fonctionne uniquement en double action, à l’instar de presque toutes celles fabriquées outre-Atlantique au cours du XIXème siècle par les firmes « Ethan Allen », « Allen & Thurber » et « Allen & Wheelok », pour ne citer que les plus connues…

Cette réplique se charge par la bouche, au moyen de la poudre noire délivrée par sa dosette et des projectiles de calibre .22 habituellement destinés aux armes à air comprimé.

Cette réplique se charge par la bouche, au moyen de la poudre noire délivrée par sa dosette et de projectiles de calibre .22 habituellement destinés aux armes à air comprimé.

Le bloc-canons et le mécanisme sont usinés en acier tandis que la carcasse, qui reçoit une très belle finition argentée (ou dorée sur certains exemplaires), est moulée en alliage.  Cette poivrière fait aujourd’hui partie des répliques disparues des catalogues pour devenir des pièces de collection.

Le mécanisme est aisément accessible grâce à la plaque de recouvrement située sur le côté gauche de la carcasse.

Le mécanisme est aisément accessible grâce à la plaque de recouvrement située sur le côté gauche de la carcasse.

Le banc d’essai de la poivrière Astra « Gold Rush » a été publié sur 5 pages dans le magazine Action Guns n°201 (juillet-août 1997)

Le banc d’essai de la poivrière Astra « Gold Rush » a été publié sur 5 pages dans le magazine Action Guns n°201 (juillet-août 1997)

La réplique du Colt 1873 en version « cap & ball » / calibre .44

L'idée d'effectuer une conversion à rebours, autrement dit de remplacer le barillet foré de part en part par un modèle muni de cheminées d'amorçage, est due à un armurier français, Christian Poencin. Ce système est aujourd’hui repris par la firme Uberti. L’arme présentée ici est accompagnée d'une réplique de holster d'époque fabriquée au Mexique par la firme Viking.

L’idée d’effectuer une conversion à rebours, autrement dit de remplacer le barillet foré de part en part par un modèle muni de cheminées d’amorçage, est due à un armurier français, Christian Poencin. Ce système est aujourd’hui repris par la firme Uberti. L’arme présentée ici est accompagnée d’une réplique de holster d’époque fabriquée au Mexique par la firme Viking.

Le banc d’essai de la réplique du revolver Colt SAA 1873 converti au à chargement par l’avant du barillet a été publié sur 5 pages dans le magazine Cibles n°328 (juillet 1997)

Le banc d’essai de la réplique du revolver Colt SAA 1873 converti au à chargement par l’avant du barillet a été publié sur 5 pages
dans le magazine Cibles n°328 (juillet 1997)

 

Démontage des revolvers à poudre noire / Deuxième partie : les modèles à bâti ouvert

Vue d’ensemble des pièces qui composent cette réplique de Colt modèle 1861 Navy. Pousser plus avant le démontage est fortement déconseillé : vous ne devez pas tenter de séparer l’axe du barillet du bâti sur lequel il est vissé, ni le petit ressort à lame du doigt élévateur sur lequel il est serti.

Vue d’ensemble des pièces qui composent cette réplique de Colt modèle 1861 Navy. Pousser plus avant le démontage est fortement déconseillé : vous ne devez pas tenter de séparer l’axe du barillet du bâti sur lequel il est vissé, ni le petit ressort à lame du doigt élévateur sur lequel il est serti.

Après avoir détaillé, dans la Première partie, le démontage des revolvers de type Remington, dont la carcasse forme un cadre rigide ininterrompu entourant le barillet, nous abordons celui des modèles à cadre ouvert, principe sur lequel sont construites les répliques des Colt.

La seconde partie de cet article, consacrée aux revolvers à bâti ouvert, a été publiée sur 5 pages dans le magazine Action Guns n° 200 (juin 1997).

La seconde partie de cet article, consacrée aux revolvers à bâti ouvert, a été publiée sur 5 pages
dans le magazine Action Guns n° 200 (juin 1997).

Voir aussi :

– Les vidéos de démontage et remontage d’une réplique de revolver Remington 1858

– Les vidéos de démontage et remontage d’une réplique de Colt 1851 Navy

– Un article (1ère partie) consacré au démontage des revolvers à bâti fermé

 

Démontage des revolvers à poudre noire / Première partie : les modèles à bâti fermé

Vue de l'ensemble des pièces qui composent l'arme après avoir terminé le grand démontage. Le démontage des pièces ne doit pas être poussé plus avant. Certaines sont soudées (guidon sur le canon), d'autres fermement bloquées et parfois collées (canon sur la carcasse), d'autres encore serties ou matées (petit ressort à lame sur le doigt élévateur).

Vue de l’ensemble des pièces qui composent l’arme après avoir terminé le grand démontage. Le démontage des pièces ne doit pas être poussé plus avant. Certaines sont soudées (guidon sur le canon), d’autres fermement bloquées et parfois collées (canon sur la carcasse), d’autres encore serties ou matées (petit ressort à lame sur le doigt élévateur).

Les armes à poudre noire réclament impérativement, après utilisation, un démontage et un nettoyage scrupuleux afin d’éviter une oxydation irréversible des pièces restées en contact avec les résidus de combustion. Le démontage d’un revolver à poudre noire ne présente aucune difficulté pour tous ceux qui sont familiarisés avec la mécanique. Pour les autres, et le courrier que nous recevons nous laisse supposer qu’ils sont relativement nombreux, les conseils et les photos destinés à les guider pas à pas dans la séquence de démontage ne seront sans doute pas inutiles.

La première partie de cet article, consacrée aux revolvers à bâti fermé, a été publiée sur 5 pages dans le magazine Action Guns n° 199 (mai 1997).

La première partie de cet article, consacrée aux revolvers à bâti fermé, a été publiée sur 5 pages
dans le magazine Action Guns n° 199 (mai 1997).

Voir aussi :

– Les vidéos de démontage et remontage d’une réplique de revolver Remington 1858

– Les vidéos de démontage et remontage d’une réplique de Colt 1851 Navy

– Un article (2ème partie) consacré au démontage des revolvers à bâti ouvert