Les répliques « Parker of London » et « William Parker Match » (Ardesa) / Calibre .45

La version Match se démarque par sa double détente à une seule queue et ses garnitures en maillechort, tandis que la version standard reçoit une double détente à deux queues et des garnitures en laiton.

La version Match se démarque par sa double détente à une seule queue et ses garnitures en maillechort, tandis que la version standard reçoit une double détente à deux queues et des garnitures en laiton.

Élégantes et raffinées, ces deux répliques de pistolets à silex anglais se hissent au niveau de la concurrence transalpine tout en conservant le principal atout de la production ibérique, à savoir un prix de vente modique. 

Quelques accessoires se révèlent indispensables au moment du tir, à commencer par une baguette de chargement puisque le fût de ces pistolets en est démuni.

Quelques accessoires se révèlent indispensables au moment du tir, à commencer par une baguette de chargement puisque le fût de ces pistolets en est démuni.

La maison Ardesa est depuis longtemps passée maître dans l’art de fabriquer, de façon simple, des répliques d’armes anciennes éprouvées pour le tir à la poudre noire et vendues, en kit ou toutes montées, à un prix tellement bas qu’il défie toute concurrence. La concurrence dont il est question est bien sûr celle des firmes italiennes, dont le leadership serait absolument incontestable si les espagnols ne venaient pas ainsi jouer les trouble-fête. Ardesa, qui ne se contente plus de répliques rustiques, a largement étendu sa gamme en y incorporant des modèles plus luxueux, comme les reproductions des pistolets de duel à percussion fabriqués par les armuriers français durant le second Empire. 

La version « Match » se démarque par sa double détente à une seule queue et ses garnitures en maillechort. Sa platine, agrémentée d'un marquage en lettres cursives semblable à celui des pistolets à silex anglais de l'époque, présente un aspect flatteur.

La version « Match » se démarque par sa double détente à une seule queue et ses garnitures en maillechort. Sa platine, agrémentée d’un marquage en lettres cursives semblable à celui des pistolets à silex anglais de l’époque, présente un aspect flatteur.

Le banc d’essai des pistolets « Parker of London » et « William Parker Match » a été publié sur 5 pages dans le magazine Action Guns n°215 (novembre 1998).

Le banc d’essai des pistolets « Parker of London » et « William Parker Match » a été publié sur 5 pages
dans le magazine Action Guns n°215 (novembre 1998).

Pistolet à silex Black Watch Scottish / calibre .58

Cette belle réplique réalisée par la firme italienne Armi San Marco est accompagnée ici de balles sphériques Hornady calibre .570 (14,5 mm), d'une poire à poudre en laiton et d'un petit amorceur en laiton dont le bec automatique permet de remplir le bassinet de pulvérin.

Cette belle réplique, réalisée par la firme italienne Armi San Marco, est accompagnée ici de balles sphériques Hornady calibre .570 (14,5 mm), de silex taillés, d’une poire à poudre en laiton et d’un petit amorceur en laiton dont le bec automatique permet de remplir le bassinet de pulvérin.

Baptisée « Black Watch Scottish » par son fabricant, cette très belle réplique d’un pistolet à silex entièrement construit en métal, dans le style typique des pistolets écossais du XVIIIème siècle,  était disponible, au choix, en version montée ou en kit.

Les pistolets écossais des Highlands, dont ce modèle est une réplique, se singularisent par leur monture métallique, en bronze ou en acier, par leur talon de poignée en forme de cornes ou comme ici de queue de carpe et par le présence d’un crochet de ceinture.

Les pistolets écossais des Highlands, dont ce modèle est une réplique, se singularisent par leur monture métallique, en bronze ou en acier, par leur talon de poignée en forme de cornes ou comme ici de queue de carpe et par le présence d’un crochet de ceinture.

« Black Watch » (Garde Noire) était le surnom donné au légendaire régiment royal des Highlands. Les soldats écossais et les membres des clans étaient traditionnellement dotés d’un équipement bien spécifique à leur pays, tant au niveau des armes blanches que des armes à feu et ce pistolet tout métallique en faisait partie. 

Le banc d’essai du pistolet à silex Black Watch Scottish a été publié sur 5 pages dans le magazine Action Guns n°214 (octobre 1998)

Le banc d’essai du pistolet à silex Black Watch Scottish a été publié sur 5 pages
dans le magazine Action Guns n°214 (octobre 1998)

Pistolet à silex « Queen Anne » de Pedersoli / Calibre .50

Cette réplique de pistolet à silex Queen Anne constitue un modèle simple, bien conçu, facile à utiliser et à nettoyer.

Cette réplique de pistolet à silex Queen Anne constitue un modèle simple, bien conçu, facile à utiliser et à nettoyer.

Ce type de pistolet à silex, remarquable par certaines caractéristiques bien particulières, est couramment appelé « Queen Anne » en référence à Anne Stuart, qui régna sur l’Angleterre et l’Irlande de 1702 à 1714 et les réunit en 1907 pour former la Grande-Bretagne.

La pierre, enveloppée dans une feuille de plomb, est solidement maintenue par les mâchoires du chien. Un simple clou sert d'outil pour en effectuer le serrage.

La pierre, enveloppée dans une feuille de plomb, est solidement maintenue par les mâchoires du chien. Un simple clou sert d’outil pour en effectuer le serrage.

On remarque la très belle réalisation de la platine, de même que le soin apporté aux encastrements dans le bois.

On remarque la très belle réalisation de la platine, de même que le soin apporté aux encastrements dans le bois.

Le banc d’essai du pistolet Pedersoli "Queen Anne" a été publié sur 5 pages dans le magazine Action Guns n°209 (avril 1998).

Le banc d’essai du pistolet Pedersoli « Queen Anne » a été publié sur 5 pages
dans le magazine Action Guns n°209 (avril 1998).

Pistolet « Le Page » à percussion / Calibre .44

Le pistolet Le Page réalisé par la firme italienne Davide Pedersoli constitue la reproduction fidèle d'un modèle à percussion du XIXè siècle.

Le pistolet Le Page réalisé par la firme italienne Davide Pedersoli constitue la reproduction fidèle d’un modèle à percussion du XIXè siècle.

La réplique du pistolet Le Page produite par Davide Pedersoli s’est rapidement imposée sur les pas de tir, supplantant, par la qualité de sa fabrication et la précision de son canon, la grande majorité des autres reproductions d’armes anciennes.

Groupements comparatifs réalisés avec une balle sphérique Hornady .445 sans calepin propulsée par des charges de 1,20 g de PNF2 ancienne et nouvelle production qualité « Bourdaine » (cible de gauche).

Groupements comparatifs réalisés avec une balle sphérique Hornady .445 sans calepin, propulsée par des charges de 1,20 g de PNF2 ancienne et nouvelle production qualité « Bourdaine » (cible de gauche).

Le banc d'essai du pistolet Le Page à percussion a été publié sur 6 pages dans le magazine Action Guns n°194 (décembre 1996).

Le banc d’essai du pistolet Le Page à percussion a été publié sur 6 pages
dans le magazine Action Guns n°194 (décembre 1996).

Derringer Palmetto « Abilene » / Calibre .41

L'actuel derringer « Abilene » côtoie ici deux répliques plus anciennes, l'une à carcasse en bronze et canon en acier marquée « New Orleans » et signée Palmetto, l'autre avec canon et carcasse coulés d'une seule pièce en bronze, signée Richland Arms Co.

L’actuel derringer « Abilene » côtoie ici deux répliques plus anciennes, l’une à carcasse en bronze et canon en acier marquée « New Orleans » et signée Palmetto, l’autre avec canon et carcasse coulés d’une seule pièce en bronze, signée Richland Arms Co.

Voici l’arme qu’on imagine aux mains d’un joueur professionnel, familier des tables de black jack à bord des steamers dont les roues à aubes battent inlassablement les eaux du Mississippi, entre Saint Louis et New Orleans. A moins qu’il ne soit dans celles d’une prostituée, qui l’extirpe prestement de sa jarretière pour défendre non pas sa vertu mais sa vie, menacée par un cow-boy ivre devenu agressif. Ce genre d’arme à feu facile à dissimuler (Hide-out pistol) ne devait pas être rare dans les claques de La Nouvelle-Orléans, si l’on en croit certains rapports de police de l’époque faisant mention de dizaines de derringers et de petits revolvers trouvés cachés dans les endroits les plus divers à l’occasion de perquisitions…

Le derringer Abilene, accompagné des accessoires nécessaires à son chargement : balles sphériques en plomb, calepins, amorces et poire à poudre.

Le derringer Abilene, accompagné des accessoires nécessaires à son chargement : balles sphériques en plomb, calepins, amorces et poire à poudre.

Le banc d’essai de la réplique de derringer Abilene a été publié sur 5 pages dans le magazine Action Guns n°192 (octobre 1996).

Le banc d’essai de la réplique de derringer Abilene a été publié sur 5 pages
dans le magazine Action Guns n°192 (octobre 1996).