Démontage complet et remontage d’une réplique de Colt 1851 Navy

Réplique du Colt Navy modèle 1851 fabriquée par Pietta en 1977 (poinçon AC du banc d’épreuve de Gardone Valo Trompia). Il s'agit d'un revolver à percussion à 6 coups en calibre .36 (chargement par l'avant du barillet), avec un canon long de 7 pouces ½ (190 mm).

Réplique du Colt Navy modèle 1851, fabriquée par Pietta en 1977 (comme le prouve le poinçon AC du banc d’épreuve de Gardone Val Trompia).
Il s’agit d’un revolver à percussion à 6 coups en calibre .36 (chargement par l’avant du barillet),
avec un canon long de 7 pouces ½ (190 mm).


 

Vidéo : démontage

 
Vidéo : remontage

 
Voir aussi :

– Les vidéos de démontage et remontage d’une réplique de revolver Remington 1858

– Un article (1ère partie) consacré au démontage des revolvers à bâti fermé

– Un article (2ème partie) consacré au démontage des revolvers à bâti ouvert

Pistolet de gendarmerie modèle an IX / calibre .60 (15,2 mm)

Cette belle réplique commémorative signée Davide Pedersoli est ici accompagnée des éléments permettant son rechargement : balles sphériques Hornady de calibre .575 et calepins Ox-Yoke en pur coton.

Cette belle réplique commémorative signée Davide Pedersoli est ici accompagnée des éléments permettant son rechargement : balles sphériques Hornady de calibre .575 et calepins Ox-Yoke en pur coton.

Le banc d’essai de la réplique du pistolet de gendarmerie modèle An IX a été publié sur 7 pages dans le magazine Action Armes & Tir n°338 (mars-avril 2011)

Le banc d’essai de la réplique du pistolet de gendarmerie modèle An IX a été publié sur 7 pages dans le magazine Action Armes & Tir n°338 (mars-avril 2011)

Le numéro 338 (mars/avril 2011) du magazine Action Armes & Tir est aujourd’hui épuisé. Vous pouvez télécharger gratuitement les 7 pages de ce banc d’essai (3,2 Mo) en cliquant sur le lien ci-dessous :

Action n°338 mars 2011_Pistolet gendarmerie An IX Pedersoli

Pistolet an XIII (Davide Pedersoli) / calibre .69 (17,6 mm)

La réplique du pistolet an XIII, réalisée par le fabricant italien Davide Pedersoli, accompagnée ici de balles sphériques de calibre .675 (17,15 mm), en plomb martelé, fabriqués en Allemagne par Haendler & Natermann, de calepins « Black Powder N°1 », en pur coton pour calibre .62 à .69, fabriqués par Pedersoli, d’une poire à poudre en cuivre d’un modèle civil et d’une petite poire d’amorçage en laiton contenant le pulvérin (poudre noire fine PNF4 pour l’amorçage du bassinet).

La réplique du pistolet an XIII, réalisée par le fabricant italien Davide Pedersoli, accompagnée ici de balles sphériques de calibre .675 (17,15 mm), en plomb martelé, fabriqués en Allemagne par Haendler & Natermann, de calepins « Black Powder N°1 », en pur coton pour calibre .62 à .69, fabriqués par Pedersoli, d’une poire à poudre en cuivre d’un modèle civil et d’une petite poire d’amorçage en laiton contenant le pulvérin (poudre noire fine PNF4 pour l’amorçage du bassinet).

Cette très belle reproduction d’un pistolet réglementaire français utilisé durant les conquêtes du Premier empire se révèle particulièrement décorative, par l’élégance de sa silhouette et les contrastes que présentent entre elles les parties en métal blanc (acier), en métal jaune (laiton) et en bois richement veiné (noyer).

Cette très belle reproduction d’un pistolet réglementaire français utilisé durant les conquêtes du Premier empire se révèle particulièrement décorative, par l’élégance de sa silhouette et les contrastes que présentent entre elles les parties en métal blanc (acier), en métal jaune (laiton) et en bois richement veiné (noyer).

La poignée arrondie procure une prise en main confortable et amortit le recul en permettant à l’arme de se relever sans tordre le poignet. En l’absence de hausse et de guidon, la prise de visée ne peut être qu’approximative, et encore faut-il être capable de la conserver après l’inflammation de la poudre d’amorçage…

La poignée arrondie procure une prise en main confortable et amortit le recul en permettant à l’arme de se relever sans tordre le poignet. En l’absence de hausse et de guidon, la prise de visée ne peut être qu’approximative, et encore faut-il être capable de la conserver après l’inflammation de la poudre d’amorçage…

La platine telle qu’elle apparaît, sérieusement encrassée, à l’issue de la séance de tir. Un nettoyage s’impose sans tarder, les résidus de poudre noire brûlée étant très corrosifs.

La platine telle qu’elle apparaît, sérieusement encrassée, à l’issue de la séance de tir. Un nettoyage s’impose sans tarder, les résidus de poudre noire brûlée étant très corrosifs.

Cette réplique nous permet d’apprécier l’ingéniosité des armes militaires de cette époque, conçues pour en faciliter le démontage et l’entretien.

Cette réplique nous permet d’apprécier l’ingéniosité des armes militaires de cette époque, conçues pour en faciliter le démontage et l’entretien.

Le banc d’essai de la réplique du pistolet an XIII a été publié sur 6 pages dans le magazine Action Armes & Tir n°276 (mai 2004)

Le banc d’essai de la réplique du pistolet an XIII a été publié sur 6 pages
dans le magazine Action Armes & Tir n°276 (mai 2004)

 

 

 

 

 

 

La réplique du derringer Remington « Rider » / calibre .17

Une finition luxueuse, le pistolet étant gravé et présenté dans un petit coffret en noyer massif, est proposée uniquement en série spéciale au tirage très limitée (120 exemplaires pour la France).

Une finition luxueuse, le pistolet étant gravé et présenté dans un petit coffret en noyer massif, est proposée uniquement en série spéciale au tirage très limitée (120 exemplaires pour la France).

S’il constitue bien la réplique exacte d’un pistolet américain du XIXème siècle, ce derringer Remington « Rider » ne devrait logiquement pas être classé dans la catégorie des armes à poudre noire, pour la simple et bonne raison qu’il fonctionne sans poudre…

Ce pistolet dessiné par Joseph Rider en 1859 est un modèle de taille extrêmement réduite, pour ne pas dire miniaturisée. Sa réplique est proposée en deux versions, qui diffèrent uniquement par leur finition : jaspée ou nickelée.

Ce pistolet dessiné par Joseph Rider en 1859 est un modèle de taille extrêmement réduite, pour ne pas dire miniaturisée. Sa réplique est proposée en deux versions, qui diffèrent uniquement par leur finition : jaspée ou nickelée.

Spécifiquement destinée au tir réduit, la réplique de ce pistolet produite par Davide Pedersoli est strictement identique au modèle original autrefois fabriqué par Remington, à l’exception toutefois du matériau de construction. Elle est en effet réalisée en acier et proposée en deux finitions, jaspée ou nickelée, alors que le modèle original était coulé en bronze et recevait une finition argentée. Son aspect extérieur était donc très proche de celui de la réplique en version nickelée.

Le banc d’essai de la réplique du derringer Remington Rider a été publié sur 4 pages dans le magazine Action Guns n°248 (novembre 2001).

Le banc d’essai de la réplique du derringer Remington Rider a été publié sur 4 pages
dans le magazine Action Guns n°248 (novembre 2001).

Revolvers Starr Army modèles 1858 à double action et 1863 à simple action / calibre .44

Le fabricant italien Pietta a réalisé non pas une, mais deux répliques des revolvers Starr. Le modèle 1858 à double action se démarque par son pontet de grande taille et son chien à petite crête. Le modèle 1863, qui fonctionne uniquement en simple action, reçoit un pontet de petite dimension et une crête de chien allongée.

Le fabricant italien Pietta a réalisé non pas une, mais deux répliques des revolvers Starr. Le modèle 1858 à double action se démarque par son pontet de grande taille et son chien à petite crête. Le modèle 1863, qui fonctionne uniquement en simple action, reçoit un pontet de petite dimension et une crête de chien allongée.

La firme italienne Pietta enrichit sa gamme de répliques avec les revolvers Starr dans leurs versions Army 1858 à double action et Army 1863 à simple action. C’est un choix judicieux, les revolvers Starr étant remarquables à la fois sur le plan esthétique, technologique et historique. Esthétiquement, ils sont admirablement bien dessinés et instantanément identifiables. Techniquement, ils supplantent tous leurs rivaux par l’originalité d’un canon basculant, d’une platine à double action, d’un barillet sans axe et d’une poignée monolithique. Historiquement, la firme Starr se place en troisième position, derrière Colt et Remington, par ordre d’importance des commandes militaires de revolvers effectuées pour armer les troupes de l’union durant la guerre de Sécession.

Le banc d'essai des répliques des revolvers Starr Army a été publié sur 6 pages dans le magazine Action Guns n° 239 (janvier 2001).

Le banc d’essai des répliques des revolvers Starr Army a été publié sur 6 pages
dans le magazine Action Guns n° 239 (janvier 2001).