Pistolet Browning modèle 1910 / calibre 7,65 mm Browning

Browning 1910 et holster_petite

Ce Browning modèle 1910 de calibre 7,65 mm (.32 ACP), ancien par sa conception remontant au tout début du XXème siècle, mais résolument moderne par ses lignes fluides et élégantes, largement utilisé par les services de police jusqu’à une période encore relativement récente, se révèle bien plus fiable et précis que nous aurions pu le penser.


 

VIDEO :

Cette photo comparative permet d’observer les similitudes entre le Browning modèle 1910 et le modèle C produit par la MAB (Manufacture d’Armes de Bayonne) de 1933 à 1967, de même calibre et capacité. A noter que ce dernier dispose d’un bouton-poussoir de déverrouillage du chargeur plus moderne et d’éléments de visée fonctionnels.

Cette photo comparative permet d’observer les similitudes entre le Browning modèle 1910 et le modèle C produit par la MAB (Manufacture d’Armes de Bayonne) de 1933 à 1967, de même calibre et capacité. A noter que ce dernier dispose d’un bouton-poussoir de déverrouillage du chargeur plus moderne et d’éléments de visée fonctionnels.

Le banc d’essai du pistolet Browning modèle 1910 a été publié sur 6 pages dans le magazine Action Armes & Tir n°342 (novembre-décembre 2011)

Le banc d’essai du pistolet Browning modèle 1910 a été publié sur 6 pages dans le magazine Action Armes & Tir n°342 (novembre-décembre 2011)

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2 commentaires sur “Pistolet Browning modèle 1910 / calibre 7,65 mm Browning

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  1. Bonjour Monsieur Bottreau,

    Dans quel magazine avez-vous publié le banc d’essai du MAB Modèle C ?

    Il figure dans le classement des armes de poing, mais pas dans la liste des bancs d’essais.

    Pour l’anecdote, mon grand-père en détenait un. Et il avait même un permis port d’armes, dans le cadre de ses fonctions de percepteur au Trésor Public.

    L’histoire familiale raconte d’ailleurs qu’il l’a essayé au fond son jardin juste après l’avoir acquis, mais qu’il a été tellement effrayé par la détonation, dont il ne s’attendait pas à ce qu’elle soit aussi forte (il n’avait pas fait de service militaire), qu’il n’a plus jamais essayé de le manipuler. Par la suite, il se contentait seulement de l’emmener dans la poche de sa veste (Vive la pédale de sécurité de poignée !) lors de ses tournées, puis de le ranger.

    Le permis de port d’armes lui a été retiré en 1967. L’arme est ensuite restée au fond d’une table de nuit, chargée, armée, et prête à faire feu… Pendant 40 ans ! Jusqu’en 2007 ! Date à laquelle je lui ai demandé s’il voulait bien me la montrer.

    Voici d’ailleurs un extrait du mail qu’il m’avait envoyé à l’époque à ce sujet :

    « Tu sais probablement qu’à l’époque, vers 1960, les percepteurs étaient autorisés à porter une arme, lors des tournées dans les communes pour encaisser les impôts. L’emploi des chèques était encore peu répandu, et en rentrant, la sacoche avec la caisse était fort « lourde ». Cette autorisation a été supprimée au motif que nous n’étions pas formés pour manier les armes. »

    Et pour ce qui est du désarmement, c’est mon père qui s’en est chargé… Alors qu’il ne connaissait rien à la manipulation des armes !

    Et bien que je fusse moi-même déjà passionné d’armes à l’époque, il ne m’avait pas laissé assister à l’opération, sous prétexte que j’étais encore mineur ! 🙁

    Dommage pour lui, car il n’aurait pas mis un quart d’heure à trouver le bouton de déverrouillage du chargeur ! 🙂 D’ailleurs mon grand-père qui l’assistait dans cette tâche ne s’en souvenait plus non plus !

    Ils sont finalement parvenus à bloquer la culasse en arrière, puis à retirer le chargeur, mais ont tout de même dû s’aider d’un couteau pour extraire une cartouche coincée…

    Enfin ! L’essentiel est que cette opération n’a causé aucun dommage ! Ni à l’arme, ni aux personnes présentes, ni au mobilier environnant ! 🙂

    Malheureusement, après le décès de mon grand-père en 2011, mon oncle a fini par envoyer cette arme au Banc d’Epreuve de Saint-Etienne, pour la faire neutraliser…

    Quel dommage ! Un MAB modèle C ! Un P.A. français comme on n’en fait plus ! De poche par dessus le marché ! Et tout acier ! 🙁

    Bon au moins, même si ce souvenir de famille ne tirera plus jamais, il ne sera jamais non plus confisqué à l’avenir… Du moins, disons qu’il y a moins de risque.

    En vous souhaitant une bonne fin de vacances, ainsi qu’une très bonne année 2018 !

    Cordialement

    • J’avais testé la précision d’un petit pistolet MAB modèle C en même temps que celle du Browning 1910, dans les mêmes conditions et avec les mêmes munitions, mais ce MAB qu’un ami m’avait confié n’a effectivement pas fait l’objet d’un banc d’essai. Il figure en photo dans celui du Browning 1910 et je viens de mettre sur le site une de ces photos.

      Je vous remercie pour votre très intéressant témoignage, qui démontre bien à quel point la culture des armes est depuis longtemps déficiente dans notre pays. Porter quotidiennement une arme de défense dont on ne sait pas réellement se servir est tout aussi irresponsable que de conduire une voiture sans permis. Plutôt que d’obliger les détenteurs à suivre une formation, qui aurait très bien pu être assurée au sein des clubs de tir, le gouvernement a préféré choisir la solution de facilité en supprimant purement et simplement les autorisations accordées aux particuliers dans le cadre de la défense des biens et des personnes.